21 décembre 2023
Dans le spectre lumineux, la lumière bleue est située à la bordure des ultraviolets (UV) invisibles. Située entre 400 et 450 nm environ, cette partie du spectre très énergétique est également appelée lumière visible à haute énergie ou HEV pour High Energy Visible.
Ces dernières années, plusieurs études ont montré que les rayons UV n’étaient pas les seuls responsables de dommages sur notre peau exposée au soleil sans protection. Les rayons de la lumière visible sont plus nombreux et pénètrent plus profondément dans la peau que les rayons UV. Les lésions occasionnées contribueraient au photovieillissement prématuré de la peau, entraîneraient une hyperpigmentation, et joueraient un rôle dans la carcinogenèse.
Malgré une exposition de plus en plus importante à des sources de lumière bleue artificielle (diodes électroluminescentes (DEL), écrans de smartphones, d’ordinateurs…), 95% à 99% des effets néfastes de la lumière bleue sur la peau seraient dus au soleil. Il est donc nécessaire de s’en protéger.
Un nouveau filtre solaire organique, TriAsorB™ (phenylene bis-diphenyltriazine), a été développé par les Laboratoires Pierre Fabre pour procurer une protection solaire à ultra large spectre, incluant les rayons UVB, UVA (courts et longs) et la lumière bleue HEV (400-450 nm).
Un supplément dédié aux avancées scientifiques dans le développement et l’évaluation de produits solaires contenant ce filtre solaire protégeant la peau des dommages induits par la lumière bleue HEV est récemment paru dans le Journal of the European Academy of Dermatology and Venereology (JEADV). Il inclut :
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Les trois articles de ce supplément ont été rédigés en parallèle par l’équipe de rédaction médicale et scientifique de Santé Active Edition – Synergy Pharm. Grâce à nos services d’assistance éditoriale, nous accompagnons nos clients de A à Z dans la publication de leurs résultats ou de revues de la littérature dans des journaux à comité de lecture en prenant en charge la soumission –y compris la préparation de tous les documents requis (lettre d’accompagnement, déclaration des conflits d’intérêts) et les échanges avec l’éditeur du journal si nécessaire–, les réponses aux reviewers, la coordination scientifique…
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