14 mars 2022
A l’occasion de la semaine nationale de lutte contre le cancer, nous pouvons aussi parler des recherches menées pour lutter contre les effets secondaires des traitements anticancéreux.
Malgré leur efficacité, les divers traitements utilisés seuls ou en combinaison peuvent avoir des effets indésirables notamment au niveau de la peau. La xérose est une des manifestations cutanées les plus fréquentes. Elle nécessite une prise en charge adaptée pour maintenir une bonne qualité de vie du patient et éviter une potentielle interruption du traitement anticancéreux.
Une étude récente, multicentrique en vie réelle de phase IV, a montré les bénéfices d’un émollient contenant un postbiotique chez 319 patients atteints de xérose due à un traitement anticancéreux, quelle que soit sa nature (chimiothérapie, thérapie ciblée, radiothérapie, hormonothérapie, immunothérapie).
Une autre étude multicentrique en vie réelle de phase IV avait précédemment montré l’efficacité de cet émollient chez 5 910 sujets présentant un prurit ou une xérose liés à des maladies dermatologiques (dermatite atopique, xérose liée à l’âge, ichtyose, psoriasis, prurigo nodulaire de Hyde, etc.) et systémiques (diabète, maladies thyroïdiennes, insuffisance rénale, etc.).
Vous pouvez retrouver les 2 articles concernant ces études et rédigés par notre équipe de rédaction médicale ici :